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Action politique
!!!! 3 mesures importantes si vous ne vous en sortez pas financièrement à cause de la crise sanitaire !!!!
ATTENTION LES DÉLAIS SONT TRÈS COURTS !!!!
- ENERGIE
- LOGEMENT
- CPAS
Voir les explications complètes
"A la demande du BAPN et des réseaux de lutte contre la pauvreté, le taskforce interfédéral "Groupes vulnérables" a été mis en place le 8 avril sous la direction du Ministre en charge de la lutte contre la pauvreté et du Ministre de l'intégration sociale. L'objectif de ce taskforce est de trouver des solutions pour les personnes en situation de pauvreté et les groupes vulnérables aux problèmes auxquels ces groupes sont confrontés durant la crise sanitaire Covid19."
La taskforce interfédéral a pour objetcif de:
- Evaluer l'impact de la crise Covid19 sur les personnes vulnérables, les mesures relatives au corona et les mesures socio-économiques des différents niveaux politiques ;
- Identifier les personnes qui ne relèvent pas du champ d'application des mesures socio-économiques et rendre leurs problèmes visibles ;
- Proposer des mesures socio-économiques supplémentaires ;
- Encourager la coordination avec les états fédérés pour assurer une meilleure articulation des mesures.
Avec l'aide des réseaux de lutte contre la pauvreté, BAPN a réalisé une 30ène de fiches sur les sujets abordés lors des réunions du groupe consultatif et ainsi pu faire passer rapidement les informations du terrain au niveau politique.
Aujourd'hui le souhait du RWLP est que certaines des mesures prises "temporairement" pour lutter contre la crise sociale liée à la crise sanitaire puissent devenir pérennes et faire du bien aux populations vulnérables sur le long terme.
Les ménages pauvres et en perte de revenus sont aussi l’économie ! A moitié en surface avant la crise, le covid les noie !
Le RWLP demande au gouvernement fédéral de décider d’une aide financière mensuelle directement versée aux ménages, durant la crise Covid-19, avec effet rétroactif.
Ce virus fantôme avec ses conséquences graves s’abat sur un terreau d’inégalités préexistantes ! Il était inévitable que les mesures sanitaires dont le confinement, indispensables, s’appliquent inégalement suivant les situations de vie des ménages, et conduisent certains vers des difficultés très aiguës.
Pour les 37,9% de la population wallonne, plus encore à Bruxelles et moins, mais toujours beaucoup trop en Flandre, en incapacité de faire face à des dépenses imprévues avant la naissance de la crise, pour les ménages en perte de revenus du fait de la suspension ou la perte d’un travail rémunéré officiel ou « de compléments » de subsistance, pour les personnes subissant l’explosion de frais (alimentaires, téléphoniques, de santé, psychologiques, ou qui verront bientôt leurs factures de régularisation d’eau, de chauffage, d’électricité gravement grever leur budget) alors qu’elles disposaient déjà de trop peu de moyens pour vivre, la crise sociale n’est pas à craindre, elle est grave tout de suite ! Elle enfonce dans les détresses matérielles et morales[1].
Sur base d’un principe de confiance, le gouvernement fédéral soutient financièrement directement les entreprises et les indépendants pour éviter le crash économique. Les ménages pauvres et en perte de revenus sont aussi l’économie. Une allocation COVID19, un soutien financier mensuel directement versé aux ménages le temps de la crise et avec effet rétroactif, maintenant !
Pour participer à la campagne vous pouvez :
- Témoigner des difficultés financières, des pertes de revenus qui ont émergé au sein de votre ménage suite à la crise covid-19, sur le groupe Facebook " Perte de revenus : crise sanitaire/crise sociale pour une allocation covid-19"
- Envoyer une photo de vous avec le visuel imprimé ou dessiné sur le groupe Facebook « Perte de revenu : crise sanitaire/crise sociale pour une allocation covid-19 » ou à j.mawet@rwlp.be
- Et pour les champions de Facebook, vous pouvez changer le décor de votre photo de profil, changer votre bannière, votre photo instagram, Twitter, grâce au lien : https://www.dropbox.com/sh/fng66okbex0k07j/AAD_Pd18cYUALMGPVoTR7GIEa?dl=0
- Partager les visuels et la campagne sur les réseaux sociaux, le plus possible.
- Transférer par mail à vos contacts la demande d’allocation mensuelle covid-19 maintenant !
[1] https://www.plan.be/press/communique-1986-frcovid+19+et+bien+etre+quels+sont+les+groupes+vulnerables
http://www.rwlp.be/images/CommuniqudePresseGEES.pdf
http://www.rwlp.be/images/Sant-mentale-groupe-de-travail-GEES-note-RWLP.pdf
MEDIAS ICI
Note envoyée par le RWLP au GEES (groupe d’experts en charge de l’Exit Strategy) pour une prise en compte des populations vulnérables sous l’angle de la santé mentale des individus et de la société suite à la crise sanitaire Covid-19.
Les mesures sanitaires indispensables qui passent principalement par le confinement/déconfinement progressif s’appliquent sur une crise sociale préexistante qui génère un état d’appauvrissement et de risque de désaffiliation sociale accrus de personnes et de familles déjà très fragiles auparavant. Les mesures sanitaires s’imposent sur ce terrain déjà très complexe et, sans le souhaiter, amplifient ces réalités et risquent donc d’intensifier encore les inégalités d’accès à des droits et services, à des revenus et y compris dans le cadre des revenus de remplacement et d’autres mesures ayant pourtant une intention bienveillante. Or on le sait les pertes de droits, affaiblissements des droits vitaux et de base, le non-recours aux droits, sont de nature à affaiblir fortement les forces vitales des personnes et des familles.
Le contexte anxiogène de la crise, l’inconnu auquel la population doit accepter de faire face dans sa vie quotidienne, la maladie qui frappe certain.e.s, le risque et la réalité des décès, les séquelles de la maladie, le timing inconnu, la peur des conséquences immédiates et à moyen-terme dans la vie matérielle et familiale quotidienne, sont autant de difficultés qui frappent toute la population, mais qui fragilisent davantage encore les populations les plus vulnérables.
Les impacts sur le bien-être/mal-être, sur un état de « dépression sourde, larvée » déjà très présente dans notre société, sur la mise à l’épreuve forte de la résistance nerveuse, sur les manières de compenser/décompenser, sur la santé mentale au sens large sont évidents. Si ces impacts peuvent toucher toutes les classes sociales, les populations les plus fragiles en font et en feront d’autant plus les frais.
Le RWLP, mais également les autres réseaux régionaux de lutte contre la pauvreté du pays avec qui nous travaillons au sein de BAPN, et des associations de base, ont l’occasion de constater cela sur le terrain tous les jours depuis le début de la crise par des contacts quotidiens avec ces populations vulnérables. Le numéro « vert » d’urgence sociale de la RW (le 1718), avec lequel le RWLP collabore depuis le début, le révèle également quotidiennement depuis le début de cette crise. Nous pouvons supposer qu’il en est de même avec le numéro vert sur Bruxelles.
Ces populations vulnérables ne peuvent être laissées à elles-mêmes face à ces impacts qui atteignent le bien-être, la santé mentale, le goût de vivre. La puissance publique, à travers les acteurs qui la composent, a la responsabilité de prendre cela en compte et d’agir à ce niveau, tant en termes curatifs que préventifs, et à travers la vie communautaire et sociale.
Note complète ICI
La situation inédite à laquelle nous sommes confrontés.ées a poussé la Wallonie à adopter des mesures exceptionnelles en vue de permettre à tous les ménages de bénéficier d’énergie au sein de leur logement, leur évitant ainsi d’être coupés, ou de devoir sortir pour aller recharger leur compteur à budget. Nous saluons vivement ces protections indispensables.
Un grand nombre de personnes subissent une perte de revenus sèche. Beaucoup d’autres, qui vivaient déjà avec peu de ressources, voient notamment leurs factures de gaz et d'électricité augmenter, puisqu’elles sont chez elles en permanence. Le paiement de ces factures va constituer un élément important dans les mois qui viennent. La question de la gestion de la dette ne doit jamais occulter l’enjeu fondamental du maintien de l’accès à l’énergie de ces ménages. Nous constatons que, jusqu’ici en Wallonie, cela a pourtant été le cas, depuis la généralisation du système des compteurs à budget.
Dans le contexte actuel de crise, il est urgent de mettre en place des mesures de soutien financier. Celles-ci pourraient prendre la forme d’une aide spécifique : un chèque, comme en Flandre. Au Nord du pays, ce chèque a l’avantage d’être accordé automatiquement aux ménages, mais il a la faiblesse de ne concerner que les personnes au chômage temporaire. Élargie à d’autres catégories de bénéficiaires comme les chômeurs, les allocataires sociaux et les indépendants ayant dû suspendre leurs activités, cette mesure représenterait une aide directe préventive intéressant.
Lire le reste du communiqué ICI
Note de travail en lien avec les mesures prises, ou à prendre selon le RWLP, pour soutenir les travailleur.euse.s et les populations les plus vulnérables, et donc soutenir également “la relance économique” à partir du Gouvernement Fédéral principalement, mais aussi du Gouvernement Wallon, ainsi que des autres entitées fédérées du pays.
"Les mesures sanitaires indispensables qui passent principalement par le confinement s’appliquent sur une crise sociale préexistante qui génère un état d’appauvrissement et de pauvreté de familles. Les mesures sanitaires s’imposent sur ce terrain déjà très complexe et, sans le souhaiter, amplifient ces réalités et risquent donc d’intensifier encore les inégalités d’accès à des droits et services, à des revenus et y compris dans le cadre des revenus de remplacement et d’autres mesures ayant pourtant une intention bienveillante. Les mesures de confinement n’ont pas le même impact sur les ménages selon leurs conditions initiales d’existence, et selon que la maladie sera là ou pas (le Covid-19, mais aussi les maladies physiques et mentales amplifiées par la situation ou le report de soins accru). Toutes les familles ne sont pas dans les mêmes conditions de vie pour faire le gros dos pendant cette crise selon qu’elles disposent ou disposaient de davantage de ressources financières et d’un statut clair ou pas. Dans une vie budgétaire mensuelle en flux tendu, toute perte de revenu même minime, ou totale, et toute augmentation de charges fixes creusent inexorablement un trou et conduira rapidement à de l’endettement et des problèmes.
La vie est donc aujourd’hui, dans le cadre de cette crise, plus chère une fois encore pour les ménages les plus pauvres, dont les types de contrats d’emploi sont fragiles, dont les statuts sont les moins clairs, ou qui ne disposent d’aucun statut.
Cette épidémie et l’urgence de sa prise en charge par des mesures sérieuses révèlent, comme sous un effet de loupe grossissante, les inégalités préexistantes, et annoncent une aggravation de celles-ci malgré une veille attentive à tous les actes posés pendant la crise sanitaire et après celle-ci. Tout doit donc être mis en œuvre pour réduire et éviter ces drames matériels et immatériels aux conséquences sociales probables lourdes."
Lire la totalité de la note ICI
Retours presse:
Bruxelles, le 9 avril 2020 - BAPN (réseau belge de lutte contre la pauvreté) salue la mise en place d'une task force fédérale pour répondre aux besoins sociaux pendant la crise de Corona. Nous demandons que la voix des personnes en situation de pauvreté soit entendue et que les mesures sociales nécessaires soient rapidement mises en œuvre.
La task force fédérale sera composée des ministres de lutte contre la pauvreté, de l'intégration sociale et des affaires sociales et des ministres régionaux de lutte contre la pauvreté. En outre, un groupe d'impact social sera mis en place avec des membres de l'administration et un autre groupe avec des représentants de la société civile et des institutions telles que le Centre de lutte contre la Pauvreté et Myria.
Nous sommes heureux que le groupe de travail fédéral soit mis en place, mais nous regrettons que ni la société civile ni les institutions ne puissent rentrer en contact directement avec l'administration et les ministres. « La crise fait rage depuis plusieurs semaines, et les besoins sociaux sont importants. Les personnes vivant dans la pauvreté ont maintenant du mal à s'en sortir. Il est important de tenir compte de leurs expériences lors de l'élaboration des politiques » , déclare Caroline Van der Hoeven du BAPN.
Les différents gouvernements, coordonnés par le gouvernement Wilmès, ont réalisé un travail important dans une situation d'urgence, à la fois pour ralentir au maximum la propagation du coronavirus et pour amortir le risque de chocs économiques et sociaux. Ces mesures étaient principalement destinées aux personnes qui deviennent temporairement sans travail à la suite des mesures. Le Réseau belge de lutte contre la pauvreté, qui représente au niveau fédéral les quatre réseaux régionaux de lutte contre la pauvreté demande maintenant qu'une série de mesures soient prises rapidement afin de minimiser les risques sociaux et les conséquences potentiellement graves de la crise pour les personnes en situation de pauvreté. Dans ce contexte, le BAPN a déjà soumis une première liste de recommandations au niveau fédéral.
Vous souhaitez plus d'informations ?
Caroline Van der Hoeven, coordinatrice du BAPN
caroline.vanderhoeven@bapn.be - 0474/55.96.11
Le 7 avril 2020, journée mondiale de la santé, propageons la solidarité européenne pour une politique de santé publique universelle !
La responsabilité des pays européens et de l’Union européenne (UE) au travers des politiques d’austérité s’illustre dans la défaillance actuelle des systèmes de soins et des services publics malgré le courage et l’abnégation dont font preuve les personnes qui y exercent.
Exigeons que les leçons de cette crise soient tirées dès maintenant. La santé n’est pas un coût mais un investissement, la santé n’est pas une marchandise.
- L’UE peut encore dépasser cette crise en changeant radicalement de cap.
- L’UE ne peut plus dépendre de directives de la Commission Européenne et du conseil des ministres ou encore de celles de la Banque Centrale et du Fond Monétaire International qui l’ont réduite à n’être qu’une entité de contrôle économique, imposant une austérité qui ne sert que la finance et les industries internationales.
- L’UE doit devenir une entité politique chargée d’organiser la solidarité sociale à partir de services publics forts, capables d’aider la population à faire face aux aléas de la vie et d’en garantir l’accès à toutes les populations. Le Parlement européen, représentant des peuples, doit y avoir un pôle prépondérant.
C’est à ce prix qu’une Europe politique et sociale peut avoir un avenir. Nous en appelons à la solidarité entre les peuples, pour l’ouverture des frontières, à la prise de conscience de notre communauté de destin.
Pour l’Europe nous exigeons un service public de santé solidaire et universel, accessible à toutes et tous, partout.
Comment participer?
Nous vous appelons à manifester votre soutien en "propageant la solidarité, pas le virus" avec une action “drap blanc” le 7 avril :
1. Accrochez vos messages sur un drap blanc dans un endroit visible ou faites une pancarte à la maison
2. Prenez-vous en photo/vidéo avec vos messages
3. Partagez-les
- sur les réseaux sociaux avec le hashtag #health4all et/ou #santépourtous et adressez-le à vos responsables politiques
- sur la carte interactive ici bit.ly/Agir4Health
Lire communiqué complet et voir les signataires ICI
Voir les photos réalisées par les témoins du vécu militant.e.s du RWLP ICI
"Soucieuse du sort de nombreux citoyens touchés par la crise du covid-19, la Wallonie met en place un service d'aides aux urgences sociales, et ce via deux canaux : le renforcement des numéros verts 1718 (pour les francophones) et 1719 (pour les germanophones) et la mise à disposition de FAQ spécifiques sur le portail luttepauvrete.wallonie.be"
Toute personne ayant une question relative aux aides existantes en matière d’alimentation, de crédit, de logement,de situation professionnelle ou de chômage est donc invitée à utiliser un de ces deux canaux pour recevoir un accompagnement personnalisé."
Pour en savoir plus:
Lire le communiqué de presse ICI
"La surcharge extrême du système hospitalier est de l’ordre du probable. Les médecins pourraient être amenés à décider quels patients admettre et à quels patients refuser l’accès aux soins intensifs.[...]
Le CSNPH est totalement conscient de l’engagement exceptionnel de l’ensemble du personnel médical et d’accompagnement des patients en dépit de conditions de travail éprouvantes. [...].
Les semaines et mois difficiles que nous allons traverser devront marquer d’un fil rouge l’approche médicale de l’avenir : l’exigence d’un système de sécurité social fort, complet, capable de prendre en charge les besoins médicaux et d’accompagnement de tous les citoyens, sans exception, devra être une priorité au-delà des préoccupations économiques.
o Le CSNPH prend acte de la charte éthique rédigé par le Comité d’Ethique de la société belge de médecine intensive et note qu’elle est uniquement applicable en cas de saturation extrême du système d’accueil des urgences. Il relève aussi que les cliniques universitaires disposent de leur propre charte avec un point d’attention sur le critère de l’âge.
o Le CSNPH relève que le tri se veut protecteur de tout arbitraire. Il est pour cette raison soumis à la combinaison de plusieurs critères successifs :
- le premier critère de sélection est la situation médicale du patient
- à situation médicale égale, l’âge du patient est déterminant : le patient le plus jeune sera privilégié, compte tenu du critère de l’espérance de vie
- le 3me critère est « premier rentré, premier servi »
- le dernier serait le tirage au sort, en cas d’afflux important en même temps.
Le CSNPH considère essentiel qu’il ne revienne en aucun cas aux urgentistes eux-mêmes de fixer les critères du choix.
- En même temps, le CSNPH s’inquiète de ce que les chartes éthiques n’abordent pas clairement la situation concrète des patients handicapés qui n’ont pas nécessairement de problèmes de santé préexistants au COVID-19. Est-ce que le handicap relève du premier critère de sélection, à savoir « la situation médicale » du patient ?[...].
- Le CSNPH constate que, parmi les critères de sélection des chartes éthiques, ne figure pas non plus l’expression de la volonté des personnes, ni de leurs représentants ou mandataires.
- Le CSNPH estime que TOUTE PERSONNE, malade ou non, handicapée ou non, doit pouvoir exprimer sa volonté par rapport aux soins qu’elle souhaite. Le consentement fait partie intégrante de la législation existante relative aux droits du patient. [...]
- Le CSNPH estime que le texte du Conseil d’Ethique de la société belge de médecine intensive laisse encore beaucoup d’interprétations possibles. Il doit être clarifié pour lever les incertitudes liées au statut de personne handicapée et au respect de l’expression de sa volonté.
- Le CSNPH souligne enfin aussi que les patients que l’on ne pourra pas soigner en soins intensifs parce que trop fragilisés, doivent néanmoins pouvoir être pris en charge et bénéficier de soins alternatifs de qualité. Cette exigence prend toute sa dimension précisément quand la personne s’est exprimée en faveur de l’absence d’acharnement thérapeutique.
Lire l'avis du CSNPH ICI