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Le RWLP est signataire de la carte blanche :  "Finissons-en une fois pour toiute avec le covid save ticket!"

 Officiellement, le CST est censé "limiter la circulation du virus, en créant des lieux plus sûrs et à moindre risque de transmission du virus, et ce afin d'éviter une saturation du système hospitalier" et de garantir "le maintien de la vie économique et sociale". Or ce dispositif vendu à l'origine pour "sécuriser" certains lieux s'est révélé être un outil de contrôle social, avec un objectif de moins en moins masqué "d'incitant" à la vaccination, instrumentalisant au passage certains secteurs d'activités pour compenser les atermoiements des autorités publiques sur l'utilité d'une obligation vaccinale plus ou moins étendue.

 
Gaëlle Peters, coordinatrice du 1718 dans l'équipe du RWLP a écrit un focus sur ce service dans le CPAS+

CPAS

En mars 2020, les mesures de confinement prises dans le cadre de la gestion de la crise sanitaire et de leurs conséquences, notamment la fermeture de services et la mise en télétravail d’autres, eurent pour effet de provoquer/ accentuer une forme de distanciation/coupure entre des populations en détresse et ceux-ci. Conscientisé de cette situation critique par le terrain, le Gouvernement wallon a marqué son accord pour que le Service public de Wallonie (SPW) élargisse la mission du 1718 à l’urgence sociale. Ainsi est devenu opérationnel le 1718 - Urgence sociale. Il s’agit d’un numéro d’appel gratuit accessible à chaque personne ne sachant pas/plus où déposer ses urgences sociales. Les professionnels qui reçoivent ces demandes, ces interpellations, ont pour mission d’écouter et d’accompagner en ligne, de dégager des pistes de solutions, pour in fine tenter de (re)lier la personne à un ou plusieurs services de proximité pour activer des droits et accéder à des ressources. Ainsi le 1718 - Urgence sociale contribue à la réduction du non-recours aux droits.

voir le CPAS+

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Deux témoins du vécus militant.e.s du RWLP expliquent ce qu'ils ont dû mettre en place pour tenir le choc!
« Pour pouvoir s’en sortir, on a dû vendre la voiture. On l’a fait dès novembre quand on a vu la hausse des prix. Celle-ci concerne à la fois le gaz et l’électricité. On a fait nos calculs et on s’est rendu compte que vivre sans voiture nous faisait gagner 80 euros par mois. Il ne faut pas oublier qu’il y a l’assurance »

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"Dans les plus petites communes, les sans-abri sont moins visibles qu’en ville. "Ce n’est pas du tout pour cela qu’il n’existe pas" déclare Marie-Claude Chainaye (chargée de missions) du Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté.
"Il y a eu des recensements l’année passée du côté des communes liégeoises et d’Arlon qui ont montré qu’il y a beaucoup de personnes qui sont sans-abri. Mais c’est plus caché. Les personnes n’ont plus de logement mais elles sont hébergées par des tiers (de la famille, des amis)".
La précarité et la très grande précarité existent partout, y compris dans les zones les plus rurales. La crise sanitaire, et économique qui en découle ne fait qu’exacerber cette situation. "Avec l’explosion du prix de l’énergie, les fins de mois vont être de plus en plus difficiles pour un nombre croissant de personnes"."
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Il y a eu une interruption de personnes devant vivre dehors au conseil communal de Couvin dernièrement, ce qui montre l'ampleur du problème...entendre le sujet
 
"Nous sommes face à un tsunami énergétique!" Damien Ernst
ln24 pour infos
 
Dans une matière déjà extrêmement compliquée qu'est l'énergie les choses sont en train de se complexifiées tant le marché est détraqué, Jean-Philippe Ducart, Porte-parole de Test Achats , Maxime Beghin, CEO de Comparateur-Energie.be • Energie-Vergelijker.be, Christine Mahy et Damien Ernst professeur à l'ULiège posent un état des lieux et réfléchissent ensemble aux solutions.
" On demande au citoyen face à l'énergie (mais pas que..) de devenir un super calculateur, un super administratif, un super digitaliseur alors que l'énergie est un bien de consommation vital! Ma question c'est où est la place de l'état pour reprendre la main sur la régularisation clair de façon à se dire que l'énergie n'est PAS n'importe quel produit!"
"L'énergie appauvrit véritablement les ménages!" - Christine Mahy
Voir le débat complet
 
 

Pour Christine Mahy, les tests devraient tout simplement être gratuits pour tous : "En Wallonie, environ 20% des enfants âgés de 0 à 19 ans bénéficient du statut BIM, donc 80% des enfants ne l’ont pas. Or, je l’ai dit, on n’est pas spécialement en dehors des difficultés financières quand on n’a pas ce statut. Par ailleurs, pour les bénéficiaires du BIM, mettons qu’ils achètent 4 tests, cela fait 4 euros. 4 euros, c’est deux pains. Dans des familles où l’on compte tous les jours pour savoir comment on va manger jusqu’à la fin du mois, le moindre euro de dépense est problématique."

Lire l'article : Un autotest Covid-19 par enfant une fois par semaine : un coût supportable pour les parents ?

Lire : Coronavirus : des organisations demandent le remboursement des autotests pour toute la population

 

 A Angleur (sans doute comme ailleurs), la compagnie aérienne Brussels Airlines a diffusé une publicité représentant un enfant, tête sous l'eau, invitant à "tenir bon". Dans ce quartier liégeois rudement touché par les inondations de juillet dernier, l'image ne passe pas. Un "non-respect" et une "violence", selon Christine Mahy (Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté) et Pierre Ozer (ULiège).

Pendant les fêtes, les habitants d'Angleur, quartier de Liège totalement sinistré suite aux inondations de la mi-juillet ont découvert un panneau publicitaire JC Decaux qui montre un enfant qui a la tête sous l'eau. Il retient sa respiration. La publicité indique en gros caractères "Allez, on tient bon", suivi de "Et si vous réserviez déjà pour après ?". C'est une campagne nationale de la compagnie aérienne Brussels Airlines.

"C'est un manque de respect pour les victimes des inondations..." ; "C'est choquant quand on sait que les gens s'asphyxient quotidiennement parce qu'ils n'ont plus assez pour vivre, pour accéder aux droits de base..." ; "On n'est pas obligé de supporter cette image-là dans l'espace public au milieu des vies détruites !" ; "Cela donne l'impression que tout est noyé ! Après la noyade, on donne l'impression que vous êtes en bonne compagnie [d'assurance !] alors que beaucoup de gens attendent encore l'intervention des compagnies d'assurances suite aux inondations..." ; "Si vous n'êtes pas encore mort, vous aurez peut-être le droit d'aller voyager !" ; "C'est juste dégueulasse, c'est comme si on n'existait pas. En fait, peut-être qu'on n'existe plus." ; "Il y a ceux qui peuvent partir en vacances et ceux qui ne partent pas. Les gens qui ne peuvent pas partir suffoquent en la voyant !" ; "C'est une référence aux réfugiés noyés dans les tentatives de traversées... La même eau pour les vacances et pour les noyés !" ; "C'est l'idée qu'il faut le mériter, tenir bon... Aller jusqu'à l'apnée ou la noyade ou encore la mort afin de pouvoir partir en vacances. L'apnée on la choisit, la noyade pas !".

Today in Liège.be

Metro

20 Minutes

Air Journal

Le Vif

7sur7

Le Soir

La Meuse

La Libre

La DH

 

 
Christine Mahy était la grande témoin de "On n'a pas fini d'en parler " vendredi dernier sur Vivacité.
L'occasion de connaitre un peu plus sur les combats de Christine Mahy et ceux du RWLP!
 

  “Quand j’ai demandé mon revenu d’intégration sociale, j’ai signé un contrat PIIS. Je le sais maintenant, mais au moment même, je n’y comprenais rien. Quand on n’a pas été longtemps à l’école, ce genre de document est beaucoup trop compliqué. Je devais signer un papier pour recevoir mon argent, alors je l’ai fait. J’avais besoin de ce revenu, sinon j’étais à la rue. Financièrement, cela a été une période très difficile, mais ce dont je me souviens encore, c’est comment cette méfiance du CPAS me rongeait de l’intérieur.”

Le Projet individualisé d’Intégration sociale (PIIS) est le contrat que la plupart des demandeurs du Revenu d’intégration sociale (RIS) doivent signer dès qu’ils reçoivent leur allocation. Jennifer était étudiante quand elle a demandé un RIS. Depuis lors, elle a eu son diplôme et elle a un emploi. Mais de nombreuses personnes sont encore aujourd’hui dans sa situation de l’époque. En 2020, pas moins de 106.200 personnes avaient un PIIS en Belgique. Les moins de 25 ans représentent près de la moitié de ces contrats.

Le RIS n’est pas une allocation inconditionnelle. La loi prévoit clairement que les demandeurs ne doivent pas seulement disposer de moyens insuffisants et avoir épuisé tous leurs autres droits. Ils doivent aussi répondre à des critères liés au séjour, à l’âge, à la nationalité et à la disposition à travailler. L’intention initiale du PIIS était de traduire ces conditions légales, avec l’ayant droit au RIS, en objectifs concrets. Les autorités voulaient ainsi faire en sorte que les personnes puissent “se réintégrer durablement dans la société et retrouver le chemin de l’emploi”.

Mais la réalité n’est pas aussi rose que cet idéal.

Lire la CARTE BLANCHE

 

Faut qu'on parle: Crises ou crises?

"Depuis des années, on traverse un cumul de crises. Ces derniers mois, il est difficile de ne pas constater que les inondations sont catastrophiques pour une partie de la population. Et c’est quand même une partie relativement nombreuse de la Wallonie, une région où les choses n’étaient déjà pas brillantes auparavant, que ce soit socio-économiquement ou en termes de logement. On a aussi la crise sanitaire, où ce sont les personnes les plus vulnérables qui ont subi les conséquences les plus lourdes: risque de perte d’emploi, chômage temporaire, digitalisation qui s’est imposée. Cette crise a frappé des travailleurs à la lisière et qui ont des revenus trop bas."

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Vidéos réalisée dans le cadre du projet « Fibre solidaire » initié par le Ministre-Président P.-Y. Jeholet, le RWLP a réalisé, en collaboration avec l’asbl RTA, des tutoriels qui visent à accompagner des jeunes et des familles dans l’apprentissage de l’ordinateur. Le RWLP les met ici à disposition en pensant à toutes celles et ceux qui doivent découvrir cet outil avec une certaine urgence.

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