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Médias
Le RWLP est signataire de la carte blanche : "Finissons-en une fois pour toiute avec le covid save ticket!"
Officiellement, le CST est censé "limiter la circulation du virus, en créant des lieux plus sûrs et à moindre risque de transmission du virus, et ce afin d'éviter une saturation du système hospitalier" et de garantir "le maintien de la vie économique et sociale". Or ce dispositif vendu à l'origine pour "sécuriser" certains lieux s'est révélé être un outil de contrôle social, avec un objectif de moins en moins masqué "d'incitant" à la vaccination, instrumentalisant au passage certains secteurs d'activités pour compenser les atermoiements des autorités publiques sur l'utilité d'une obligation vaccinale plus ou moins étendue.
voir le CPAS+
Pour Christine Mahy, les tests devraient tout simplement être gratuits pour tous : "En Wallonie, environ 20% des enfants âgés de 0 à 19 ans bénéficient du statut BIM, donc 80% des enfants ne l’ont pas. Or, je l’ai dit, on n’est pas spécialement en dehors des difficultés financières quand on n’a pas ce statut. Par ailleurs, pour les bénéficiaires du BIM, mettons qu’ils achètent 4 tests, cela fait 4 euros. 4 euros, c’est deux pains. Dans des familles où l’on compte tous les jours pour savoir comment on va manger jusqu’à la fin du mois, le moindre euro de dépense est problématique."
Lire l'article : Un autotest Covid-19 par enfant une fois par semaine : un coût supportable pour les parents ?
Lire : Coronavirus : des organisations demandent le remboursement des autotests pour toute la population
A Angleur (sans doute comme ailleurs), la compagnie aérienne Brussels Airlines a diffusé une publicité représentant un enfant, tête sous l'eau, invitant à "tenir bon". Dans ce quartier liégeois rudement touché par les inondations de juillet dernier, l'image ne passe pas. Un "non-respect" et une "violence", selon Christine Mahy (Réseau Wallon de Lutte contre la Pauvreté) et Pierre Ozer (ULiège).
Pendant les fêtes, les habitants d'Angleur, quartier de Liège totalement sinistré suite aux inondations de la mi-juillet ont découvert un panneau publicitaire JC Decaux qui montre un enfant qui a la tête sous l'eau. Il retient sa respiration. La publicité indique en gros caractères "Allez, on tient bon", suivi de "Et si vous réserviez déjà pour après ?". C'est une campagne nationale de la compagnie aérienne Brussels Airlines.
"C'est un manque de respect pour les victimes des inondations..." ; "C'est choquant quand on sait que les gens s'asphyxient quotidiennement parce qu'ils n'ont plus assez pour vivre, pour accéder aux droits de base..." ; "On n'est pas obligé de supporter cette image-là dans l'espace public au milieu des vies détruites !" ; "Cela donne l'impression que tout est noyé ! Après la noyade, on donne l'impression que vous êtes en bonne compagnie [d'assurance !] alors que beaucoup de gens attendent encore l'intervention des compagnies d'assurances suite aux inondations..." ; "Si vous n'êtes pas encore mort, vous aurez peut-être le droit d'aller voyager !" ; "C'est juste dégueulasse, c'est comme si on n'existait pas. En fait, peut-être qu'on n'existe plus." ; "Il y a ceux qui peuvent partir en vacances et ceux qui ne partent pas. Les gens qui ne peuvent pas partir suffoquent en la voyant !" ; "C'est une référence aux réfugiés noyés dans les tentatives de traversées... La même eau pour les vacances et pour les noyés !" ; "C'est l'idée qu'il faut le mériter, tenir bon... Aller jusqu'à l'apnée ou la noyade ou encore la mort afin de pouvoir partir en vacances. L'apnée on la choisit, la noyade pas !".
“Quand j’ai demandé mon revenu d’intégration sociale, j’ai signé un contrat PIIS. Je le sais maintenant, mais au moment même, je n’y comprenais rien. Quand on n’a pas été longtemps à l’école, ce genre de document est beaucoup trop compliqué. Je devais signer un papier pour recevoir mon argent, alors je l’ai fait. J’avais besoin de ce revenu, sinon j’étais à la rue. Financièrement, cela a été une période très difficile, mais ce dont je me souviens encore, c’est comment cette méfiance du CPAS me rongeait de l’intérieur.”
Le Projet individualisé d’Intégration sociale (PIIS) est le contrat que la plupart des demandeurs du Revenu d’intégration sociale (RIS) doivent signer dès qu’ils reçoivent leur allocation. Jennifer était étudiante quand elle a demandé un RIS. Depuis lors, elle a eu son diplôme et elle a un emploi. Mais de nombreuses personnes sont encore aujourd’hui dans sa situation de l’époque. En 2020, pas moins de 106.200 personnes avaient un PIIS en Belgique. Les moins de 25 ans représentent près de la moitié de ces contrats.
Le RIS n’est pas une allocation inconditionnelle. La loi prévoit clairement que les demandeurs ne doivent pas seulement disposer de moyens insuffisants et avoir épuisé tous leurs autres droits. Ils doivent aussi répondre à des critères liés au séjour, à l’âge, à la nationalité et à la disposition à travailler. L’intention initiale du PIIS était de traduire ces conditions légales, avec l’ayant droit au RIS, en objectifs concrets. Les autorités voulaient ainsi faire en sorte que les personnes puissent “se réintégrer durablement dans la société et retrouver le chemin de l’emploi”.
Mais la réalité n’est pas aussi rose que cet idéal.
Lire la CARTE BLANCHE
Faut qu'on parle: Crises ou crises?
"Depuis des années, on traverse un cumul de crises. Ces derniers mois, il est difficile de ne pas constater que les inondations sont catastrophiques pour une partie de la population. Et c’est quand même une partie relativement nombreuse de la Wallonie, une région où les choses n’étaient déjà pas brillantes auparavant, que ce soit socio-économiquement ou en termes de logement. On a aussi la crise sanitaire, où ce sont les personnes les plus vulnérables qui ont subi les conséquences les plus lourdes: risque de perte d’emploi, chômage temporaire, digitalisation qui s’est imposée. Cette crise a frappé des travailleurs à la lisière et qui ont des revenus trop bas."
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