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Publications
En vente en librairie et au RWLP à partir de ce mercredi 21 octobre 2015 (RWLP 12, rue Marie-Henriette à Namur ou par téléphone au 081/31 21 17) ou bureau@rwlp.be
Un livre suspendu vous attend...
Action spécifique de vente organisée par le RWLP : « Un livre suspendu … sera offert» dans une préoccupation cohérente de réduction des inégalités ! En effet, pour permettre aux personnes pour qui 16 euros représentent une partie importante de la nourriture d’un mois, ou la prise en charge de frais scolaires, etc., d’acquérir le livre, il ne sera pas offert gratuitement aux VIP mais bien aux personnes qui connaissent la pauvreté financière. Ainsi les personnes et/ou associations, organisations, institutions… qui disposent de ressources financières, et qui le souhaitent, sont invitées à payer le prix de 2 livres à l’achat d’1, permettant ainsi au RWLP de le donner gratuitement à ceux dont le portefeuille est trop plat pour s’offrir ce plaisir.
L'auteur du livre : Joseph Charlier
Réseau wallon de lutte contre la pauvreté
Ya Basta ! Assez !
Echec à la pauvreté !
Préface de Christine Mahy
Eradiquer la pauvreté est un objectif majeur de notre temps.
C’est ce but essentiel que le Réseau wallon de lutte contre la pauvreté poursuit résolument avec la participation des personnes vivant l’appauvrissement, la pauvreté, et la pauvreté durable. Cette participation est indispensable pour briser les inégalités, refonder la démocratie, et promouvoir la prospérité.
Ce livre rend compte du combat du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté et fait état de son projet et de ses propositions pouvant contribuer à un renouveau de la cité wallonne.
Il explique pourquoi et comment nos sociétés fondées sur les principes “croissance, économie, emploi” alliés au mythe de la consommation, consacrent l’enrichissement d’une minorité et le refoulement à leur marge de millions de citoyens. Pourquoi et comment les processus de précarisation et d’appauvrissement généralisé se développent alors que les dispositifs de sécurité sociale s’effritent gravement.
En Wallonie, en Belgique, en Europe, les défis pour le futur, mis en relief par cet ouvrage, exigent une réponse forte, globale, pertinente des pouvoirs publics, de la société civile, des associations, des citoyens, et tout particulièrement des personnes pauvres et appauvries qui doivent y être associées.
Joseph Charlier, originaire d’une famille paysanne du Pays de Herve, est historien de formation. Après une longue expérience de travail en usine et dans le syndicalisme agricole européen, il contribue activement à l’action et au devenir du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté. En 2012, il organise une conférence européenne sur l’avenir de la démocratie. Il participe à des initiatives de développement territorial.
Collection Détournement de fond
ISBN 978-2-87003-670-9 / octobre 2015
200 pages / format 14*21 cm / 16 euros
L'ouvrage a été présenté par Joseph Charlier, son auteur, lors de la Journée mondiale de lutte contre la pauvreté au Théâtre de Namur le 16 octobre 2015.
Le 5 octobre en France, des militants syndicaux excédés s'en prennent à deux cadres de la société Air France et leur déchirent la chemise, les obligeant à fuir, torse nu, en escaladant une barricade.
Les circonstances de l'incident sont troubles : les médias se sont en effet faits les relais de deux
interprétations incompatibles : un plan de réduction des effectifs (2900 personnes ; 8000, menace la direction, si le personnel n'acquiesce pas au plan de « restructuration ») a été annoncé, d'où la réaction de colère des militants ; autre version : cette annonce n'est qu'une rumeur qui a été lancée pour exaspérer la foule, la direction n'a pas l'intention de licencier, « on » a voulu provoquer
l'incident...
L’action sociale en CPAS en questions
Par Christine Mahy, secrétaire générale du RWLP et Jean Blairon, directeur de l'asbl RTA
Dans son édition du 29 avril mise à jour le 04 mai, La Libre publiait une carte blanche cosignée
intitulée « Il faut renforcer l’action sociale des CPAS en réseau ». Le contexte de cette prise de
position est le « projet » de fusion entre les services des CPAS et des communes, projet dans
lequel une première carte blanche, également cosignée, appelait à ne pas s’engouffrer1.
Si ce premier texte critique les inconvénients d’une fusion totale entre les deux entités, le
second s’attache à démontrer que ceux-ci ne seraient pas moindres si l’on envisageait une
reprise partielle.
Brochure réalisée par le Groupe de travail CPAS du RWLP.
Comment être respecté dans le droit à l’aide sociale ? Comment ne pas être privé de ses droits ? Comment être respecté dans l’accès aux droits ? Comment continuer à bénéficier de services si je suis exclu du chômage ? Comment militer en faveur des droits sociaux ?
Petit guide pratique réalisé avec l'aide précieuse de l'aDas (Association de Défense des Allocataires Sociaux) et qui oriente les usagers dans leurs démarches vers les CPAS.
Une définition brute de décoffrage de l’habitat permanent serait de le décrire comme le fait de résider toute l’année dans des lieux prévus pour un séjour temporaire.
La création de plates-formes, une nouvelle forme de mobilisation politique ?
Par Jean Blairon et Isabelle Dubois
La grève générale du 15 décembre 2014 fut le point d'orgue d'une année qui a vu se multiplier les initiatives de mobilisation contre les politiques d'austérité. Ces initiatives ont convergé vers la pérennisation de « plates-formes » réunissant des acteurs très diversifiés, et s'unissant aux syndicats dans une lutte commune.
Le jour de grève générale, nous avons participé aux actions menées en Wallonie par une de ces plates-formes, Acteurs des Temps Présents. Nous en avons profité pour réaliser une série d'interviews visant à connaître l'analyse que faisaient un certain nombre de personnes de l'initiative, quels intérêts elles y trouvaient, quels enjeux étaient engagés d'après elles dans cette expérimentation.
Pour prendre une attitude réflexive au moment où ces initiatives sont appelées à s'organiser dans la durée, nous proposons ensuite un outil d'analyse de la diversité des logiques et des compositions d'action, pour permettre à la fois la convergence des forces et la singularité des combats.
Alors, et ainsi, je serais Charlie ?
Par Jean Blairon
Les assassinats perpétrés contre la rédaction de Charlie-Hebdo doivent être condamnés sans équivoque, la violence ne pouvant se substituer au débat d'idées. Les réactions innombrables condamnant cet acte terroriste ne peuvent qu'être partagées.
Il s'agit en effet de défendre les libertés que nous avons mis des siècles à conquérir.
Mais nous avons assisté dans ce contexte à l'adoption en chaîne d'un « slogan » par une série de personnes ou d'institutions affirmant « être Charlie ». Certains ont franchi un pas de plus en croyant pouvoir s'exprimer au nom de tous : « Nous sommes tous Charlie », a-t-on pu lire ou entendre.
Un tel unanimisme décrété n'est pas sans poser question – sans parler ici de ses tentatives de récupération à des fins commerciales. Nous avons affaire en l'occurrence à la quasi imposition à une identification paradoxale à un organe de presse qui est le premier à vouloir pourfendre les baudruches du sens commun.
Ce processus d'affirmation identitaire imposée (« nous sommes tous... ») nous paraît mériter dès lors une attention critique qui n'est pas simple à mettre en œuvre : il s'agit de bien faire la distinction entre le rejet de la violence terroriste envers la presse critique et la critique de la forme consensuelle dans laquelle ce rejet s'est finalement exprimé.
En tout état de cause, il paraît peu pertinent de s'identifier à la critique si on ne s'efforce pas, dans le même mouvement, d'être critique par rapport au geste d'identification lui-même.