" "Les allocations les plus basses seront progressivement augmentées en direction du seuil de pauvreté", se limite à affirmer l'accord de gouvernement. Sans échéances précises, sans financement dédié, et sans réel engagement budgétaire. Ce qui a déjà fait dire à Christine Mahy, secrétaire générale du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté, que l'accord du gouvernement Michel était beaucoup plus assertif sur le sujet. Mal protégés, souvent traqués, les plus fragiles ne sont pas près de retrouver la liberté"
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