Gaëlle Peters, du Réseau wallon de lutte contre la pauvreté (RWLP), a pu observer comment beaucoup d'indépendants ont progressivement perdu pied. "Au premier confinement, c’était l’état de sidération et la peur du virus qui prédominait. Au deuxième confinement, on a assisté à un épuisement des ressources financières et psychologiques. Aujourd’hui, avec le troisième confinement, c’est le temps des dettes, la peur de la faillite et la fin d’un parcours de vie."
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