"Alter Échos : Il y a un an, vous nous disiez qu’avec cette crise du coronavirus, on découvrait à quel point tous les services sociaux étaient des services paratonnerres par rapport à la pauvreté, des services qui permettaient à la société de tenir malgré des inégalités fortes. Vous ajoutiez qu’il fallait être soit sourd, ou aveugle, pour ne pas voir que la vulnérabilité était intense dans notre pays. J’imagine qu’aujourd’hui, un an après, il reste encore des « aveugles »…"