Le 17 avril est une occasion de défendre les terres et de refuser le modèle de l'agrobusiness qui appauvrit ET les sols ET les populations!
Qu'est ce que la Journée internationales des Lutte Paysannes? "Le 17 avril 1996, dix-neuf paysans du mouvement sans terre du Brésil étaient assassinés par des tueurs à la solde de grands propriétaires terriens. En mémoire de leur combat, Via Campesina a déclaré le 17 avril "Journée mondiale des luttes paysannes". Partout dans le monde, les paysans - qui forment plus de la moitié de la population de la terre - sont touchés par le rouleau compresseur des multinationales de l’agroalimentaire et des gouvernements complices. Chaque année, le 17 avril est une occasion de sensibiliser la population aux luttes des paysannes d’ailleurs et d’ici.
Pour en savoir plus le site de la Via Campesina
Le 17 avril 2021, en Belgique le combat se concentre sur La patate, notre fierté gastronomique Belge et symbole des luttes paysannes, a été dévoyée par la mondialisation et l’agrobusiness. Avec environ 4 millions de tonnes de pommes de terre produites par an, la Belgique produit de quoi combler 16x ses besoins alimentaires en de pommes de terres. Extrêmement gourmande en pesticides, ses chaines de transformation laissent nos agriculteur.ice.s pieds et poings liés et les travailleurs de ces usines dans de bien mauvaises conditions."
Toutes les infos La Carte Blanche - Enterrons une bonne fois pour toutes le projet d'usine à frites à Frameries (et partout ailleurs!)
Le RWLP est en lutte contre les inégalités et pour un accès de toutes et tous à une alimentation durable! comme le dit Christine Mahy dans sa carte blanche dans le Magasine TCHAK: pour les personnes dans le trop peu de tout "Impossible que leur échappe le fait qu’ils sont piégés dans la malbouffe, qu’ils sont le portefeuille et le marché de la malbouffe, qu’ils sont la poubelle des invendus et des riches, qu’ils sont nourris par l’aide alimentaire cache-sexe de l’illégitime et violente pauvreté institutionnalisée. Et, finalement, qu’ils sont sans doute incompétents tant en gestion budgétaire qu’en choix alimentaire, qu’en capacité culinaire, et qu’ils sont donc à éduquer quand ce n’est pas à rééduquer. " Lire la Carte blanche.