- Dé-privation de la vie privée : « Aujourd’hui, le pire est de ne rien avoir, d’être considéré comme abuseur… et d’être considéré comme rien… »
La violence ultime : être appauvri de richesses privées , affectives , psychologiques:
- vie privée contrôlée à partir des normes d'existence "classes moyennes »,
- hyper-conditionnalité, hyper-responsabilisation,
- vie amoureuse et de couple conditionnée par les finances et le statut (statut de co-habitants et non-individualisation des droits),
- stress, angoisse, usure, perte de force à devoir naviguer dans le trop peu permanent,
- contraint à la perfection en permanence (in-humain),
- contraint au parcours sans erreur (même de bonne foi) et sanction de "l'intelligence de survie",
- non-droit au désir... éteinte des aspirations, perte de perspective !
= dé-privation de la vie privée